L’alibi avancé par la Commission européenne pour justifier l’ouverture des marchés à la concurrence était la maîtrise du coût de l’énergie. Avec une hausse des prix de l’énergie de 25 % sur les quatre dernières années, force est de constater que l’objectif n’a pas été atteint. Un constat douloureux à l’heure où le pouvoir d’achat est l’une des principales préoccupations des citoyens européens et où la baisse de compétitivité de l’industrie européenne est avancée comme la principale explication à la hausse endémique du chômage.
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